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Gilda Piersanti
Vengeances romaines
Gilda PiersantiLe matin du nouvel an, une femme disparaît. Une année auparavant, à Rome, une autre femme a disparu, mais sa fille refuse toujours de le déclarer à la police… Le début d’une nouvelle saison meurtrière ? D’une affaire à l’autre, l’inspecteur Mariella De Luca et sa coéquipière la belle Silvia Di Santo démêlent bientôt un terrible écheveau, où s’entrelacent règlements de comptes familiaux, problèmes d’argent et intrigues politiques. Où surtout, chaque fois, une voix absente semble chercher à se faire entendre… pour crier vengeance.
Vengeances romaines est le cinquième volet des Saisons meurtrières de Gilda Piersanti.
Les Saisons meurtrières :
Les Saisons meurtrières est une série policière qui se compose à ce jour de huit romans : Rouge abattoir, Vert Palatino, Bleu catacombes, Jaune Caravage, Vengeances romaines, Roma enigma, Wonderland et Le Saut de Tibère.
Dans chacun de ces romans, une jeune inspectrice de la police judiciaire romaine, Mariella De Luca, secondée par l’inspectrice Silvia Di Santo, mène l’enquête, entraînant le lecteur à sa suite dans les rues de Rome, dans des quartiers de la ville souvent méconnus : Testaccio, les catacombes, l’EUR, Ostiense, Garbatella, Casetta Mattei… Avec cette série, Gilda Piersanti aborde fréquemment les thèmes de l’art ou l’architecture, l’histoire récente ou les singularités de la société italienne, et plonge ses lecteurs dans l’atmosphère unique de la Ville éternelle, loin des clichés touristiques ou des scènes attendues.
ISBN: 978-2-84742-135-4
Coéditeurs:
Editions Le Passage
Date de publication: 7 mai 2009
Nombre de pages: 263
Dimensions du livre: 15 cm x 24 cm
Prix public: 18 €
« Dans un récit à miroirs, Piersanti raconte la tragédie italienne et la dégringoldae des petits hommes dans le décor d’une Ville éternelle qui a connu tant d’effodrements. »
Marianne
«Au-delà des images traditionnelles de la ville, ses ciels, ses églises, qu’elle évoque avec le talent d’un peintre, Gilda Piersanti décrit des changements plus subtils, comme l’évolution de certains quartiers, ou plus largement l’inconscient collectif d’une société italienne dont les blessures ont mal cicatrisé.»
Le Monde