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Gilda Piersanti
Roma enigma
Gilda PiersantiLa Garbatella, à Rome, un soir calme de printemps. Sur le seuil de la pâtisserie la plus réputée du quartier, une jeune étudiante s’effondre… Tuée par balle. Un meurtre inexplicable : pas d’arme du crime, aucun suspect, rien dans le passé de la victime qui permette de suivre la moindre piste. Un meurtre sans mobile. Le crime parfait ? Dans les méandres de la Ville éternelle, un nouveau défi pour l’inspecteur Mariella De Luca et sa coéquipière, la belle Silvia Di Santo.
Roma enigma est le sixième volet des Saisons meurtrières de Gilda Piersanti.
Les Saisons meurtrières :
Les Saisons meurtrières est une série policière qui se compose à ce jour de huit romans : Rouge abattoir, Vert Palatino, Bleu catacombes, Jaune Caravage, Vengeances romaines, Roma enigma, Wonderland et Le Saut de Tibère.
Dans chacun de ces romans, une jeune inspectrice de la police judiciaire romaine, Mariella De Luca, secondée par l’inspectrice Silvia Di Santo, mène l’enquête, entraînant le lecteur à sa suite dans les rues de Rome, dans des quartiers de la ville souvent méconnus : Testaccio, les catacombes, l’EUR, Ostiense, Garbatella, Casetta Mattei… Avec cette série, Gilda Piersanti aborde fréquemment les thèmes de l’art ou l’architecture, l’histoire récente ou les singularités de la société italienne, et plonge ses lecteurs dans l’atmosphère unique de la Ville éternelle, loin des clichés touristiques ou des scènes attendues.
ISBN: 978-2-84742-155-2
Coéditeurs:
Editions Le Passage
Date de publication: 7 octobre 2010
Nombre de pages: 216
Dimensions du livre: 15 cm x 24 cm
Prix public: 18 €
« Attendue comme un panettone à la veille de Noël, tapageuse comme le décolleté de Gina Lollobrigida, Mariella De Luca, l’enquêtrice des Saisons meurtrières fait chauffer l’asphalte en Fiat 500, file les assassins en jupe fendue et stilettos… Mais plus encore que Mariella, l’héroïne, c’est Rome. »
Le Point
« Les lieux traversé, la sociologie urbaine, l’omniprésence de l’Italie rurale servent de toile de fond à ce roman écrit comme une tragédie antique où les dialogues sonnent aussi comme des balles.»
La Provence
« On connaît le meurtrier dès les premières pages, mais le roman vaut pour l’étude psychologique d’un assassin fou d’amour. Fascinant.»
Elle