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Suzanne Stock
Ne meurs pas sans moi
Suzanne StockEn apparence, Sandra Denison aime sa vie. Rien ne semble pouvoir arrêter la brillante avocate new-yorkaise, qui collectionne les succès professionnels comme les hommes. Elle avance, sûre d’elle, et ne regarde jamais en arrière. Car le terrible drame de son enfance la ronge. La jeune femme revoit encore les flammes lécher les murs de la maison, se refermer comme un piège infernal sur sa mère. Et ces étranges yeux rouges qui la fixent…
Sandra Denison aimait sa vie jusqu’à ce qu’une nuit suffise à la faire basculer dans l’horreur. Un message qui ne lui était pas destiné et qu’elle n’aurait pas dû voir, les meurtres atroces de ses proches, une créature invisible qui la poursuit.
Pourquoi son père, qu’elle appelle désespérément à l’aide, l’abandonne-t-il maintenant ? La tient-il pour responsable des tragiques événements survenus vingt ans auparavant ? Dans une ville comme frappée d’un sortilège et soudainement désertée, Sandra va devoir lutter. Seule au monde… Ou presque. Car les fantômes surgissent du passé, bien décidés à lui faire endurer le pire des cauchemars. Sa quête de réponses la mènera au bord de la folie et l’obligera à affronter une fois pour toutes les secrets qu’elle redoute tant. Ils restent là, tapis dans les décombres fumants de l’incendie. Et ils réclament leur dette de sang.
Quelqu’un devra payer.
Avec Ne meurs pas sans moi, Suzanne Stock nous livre un thriller d’une habileté redoutable. Une mécanique sombre et déroutante au dénouement insoupçonnable.
ISBN: 978-2-84742-231-3
Coéditeurs:
Editions Le Passage
Date de publication: 6 mars 2014
Nombre de pages: 192
Dimensions du livre: 15 cm x 24 cm
Prix public: 18 €
« J’ai été bluffée ! Ne meurs pas sans moi est mon polar du mois. »
Marina Carrère d’Encausse, « Le Magazine de la santé », France 5
«Un premier roman machiavélique et passionnant. »
Sud-Ouest
«Coup d’essai, coup de maître ! »
Le Républicain lorrain
« Au détour d’une page, c’est l’électrochoc. Car il y a deux temps très marqués dans ce thriller… Seul Betty d’Indridason m’avait provoqué un tel effet de surprise. Suzanne Stock, une révélation. »
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