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Gilda Piersanti
Jaune Caravage
Gilda PiersantiRome, automne 2006, la Nuit blanche bat son plein, la ville est en ébullition.
Des torrents de jeunesse se déversent dans les rues, envahissent les quais pour converger vers le Gazomètre, nouveau symbole des nuits romaines, véritable phare dressé face à la Ville éternelle. Mais l’aube sera sanglante, une jeune fille est retrouvée atrocement mutilée sur les berges du Tibre.
La fin des vacances prend alors des allures de cauchemar pour l’inspecteur principal Mariella De Luca, qui se retrouve subitement plongée dans l’univers fragile et cruel de l’adolescence. Entre naufrage des couples et menaces de la mafia russe, mères seules et enfants à la dérive, Mariella tente de dénouer les fils d’une liaison dangereuse, à l’âge où le mensonge apparaît comme l’unique défense et la mort, une seconde vie.
Jaune Caravage est le quatrième volet des Saisons meurtrières de Gilda Piersanti.
En 2014, Jaune Caravage a été adapté pour France 2 sous le titre Jaune Iris par Didier Bivel.
ISBN: 978-2-84742-113-2
Coéditeurs:
Editions Le Passage
Nombre de pages: 288
Dimensions du livre: 14 cm x 20,5 cm
Prix public: 17 €
Dans chacun de ces romans, une jeune inspectrice de la police judiciaire romaine, Mariella
De Luca, secondée par l’inspectrice Silvia Di Santo, mène l’enquête, entraînant le lecteur à sa
suite dans les rues de Rome, dans des quartiers de la ville souvent méconnus : Testaccio, les
catacombes, l’EUR, Ostiense, Garbatella, Casetta Mattei… Avec cette série, Gilda Piersanti aborde fréquemment les thèmes de l’art ou l’architecture, l’histoire récente ou les singularités de la société italienne, et plonge ses lecteurs dans l’atmosphère unique de la Ville éternelle, loin des clichés touristiques ou des scènes attendues.
Jaune Caravage existe en version de poche aux éditions Pocket, et en version livre audio aux éditions Sixtrid.
« Au fil des enquêtes, les personnages récurrents prennent de l’épaisseur, les masques tombent, amours et souffrances dénouent leurs fils. L’émotion maîtrisée de l’auteur les rend encore plus attachants, au point qu’on regrette de les quitter. Reviendront-ils ? »
Les Echos
«L’auteure nous perd avec finesse dans ce dédale.»
Télé 7 Jours