« La verticale du pouvoir nie toute humanité aux échelons inférieurs. Elle étouffe l’imagination, la créativité, l’initiative. » Olivier Rogez les ravive à la force de son lyrisme. Sa brillante analyse politique, sociologique et psychologique vaut tant pour la Russie que pour d’autres pays. Mais ce roman combine surtout la tragédie à la Dostoïevski à l’humanisme d’Oulitskaïa. K.E.
Les Hommes incertains, 2e roman du Grand Reporter Olivier Rogez , à l’honneur cette semaine, et en pleine page, dans le numéro spécial Rentrée Littéraire de Livres Hebdo !
Merci Kerenn Elkaim.
Parution le 22 août.