« Sans l’appui des pires parrains, la musique de Duke Ellington n’aurait pas pu s’épanouir à la fin des années vingt. C’est la thèse – pertinente – de Ronald Morris, dont l’étude renversante, Le Jazz et les Gangsters, vient d’être éditée en semi-poche. » B.P.
Sous la plume du journaliste Bruno Pfeiffer, l’ouvrage Le Jazz et les gangsters à nouveau au cœur d’une enquête passionnante dans Libération.
Une enquête à découvrir en ligne sur le site internet du quotidien : http://jazz.blogs.liberation.fr/2016/11/20/gangs-de-harlem-duke-ellington-leur-dit-merci/